C’est le détail qui tue et qui semble encore plus d’actualité en ces temps de léthargie collective. On l’appelle « l’accusé de réception » ! Un réflexe qui prend quelques secondes et qui fait toute la différence entre les managers ou prétendus managers et les super-boss.
On nous a promis une crise économique après la crise sanitaire. Eh bien voilà, nous y sommes ! Là, on peut effectivement parler de promesse tenue. Avez-vous remarqué que, cette année, les messages de vœux ont démarré très tôt, dès le mois de décembre ? Bon nombre de ceux qui ne l’ont pas fait en début d’année se demandent si c’est encore d’actualité. C’est dire si tout le monde a envie de passer à autre chose. C’est-à-dire aux choses sérieuses, comme sauver nos activités, par exemple.
Novembre 2020, 8h00 du mat., sonnerie de smartphone.
Après une longue nuit, difficile d’émerger. Pourtant, j’ai allongé instinctivement mon bras sur la commode pour attraper le combiné, de peur que l’appel provienne d’un client ou que ce soit pour une urgence. « Bonjour, Jean-Philippe Delbonnel à l’appareil. Je voulais vous remercier pour votre email et vous dire que j’ai également apprécié votre initiative webcom.tv… ». C’est là où tout a commencé ! Un simple coup de fil, un échange entre passionnés, la co-construction d’un projet et puis, c’est la déferlante. Une France qui bouge, que l’on n’imagine même pas à quel point.
Il faut espérer qu’il y ait un avant et un après cette pandémie du coronavirus car ce serait vraiment une erreur pour l’humanité que de faire comme si de rien n’était et d’oublier cet épisode de crise inédite à la sortie de notre confinement. Quels sont les enseignements que l’on peut tirer de cette crise sanitaire ? Quelles sont les erreurs que nous avons commises et que nous devrions éviter à l’avenir ? Quelles sont toutes ces évidences qui nous sautent aux yeux en nous regardant dans le miroir chaque matin ? Qu’avons-nous trouvé d’appréciable dans notre isolement ? Que pourrions-nous faire différemment pour transformer cette crise en une véritable opportunité pour réinventer notre monde et mieux vivre autrement ?
Imaginez une journée, ou un séminaire résidentiel, où des responsables sanitaires et institutionnels, organisés en équipes projet, sont invités à mener une réflexion sur les solutions à mettre en œuvre pour faire face à une situation de pandémie. Vous venez alors d’imaginer l’animation d’un atelier Backcast. Une démarche prospective qui permet de « voir le présent les yeux du futur ».
Dans un monde en perpétuelle mutation, les méthodes de management stratégique connues jusqu’alors semblent insuffisantes et, bien souvent, inopérantes. Bienvenue dans l’ère du mangement du futur !
La pandémie du coronavirus a des impacts sanitaires et économiques certains. Pourtant, vue sous un angle « d’intelligence positive », nous pouvons souligner des effets positifs inattendus aussi bien sur la planète que sur nos modes de vie. À commencer par la réduction drastique de nos émissions de gaz à effet de serre et la mise à l’arrêt de notre course effrénée contre la montre.
Il y a les pionniers, les engagés, les expérimentateurs et les suiveurs ! Tels sont les quatre profils d’entreprises dressés par le MIT (Massachusetts Institute of Technology) en termes de vision face au déploiement de l’intelligence artificielle. Une typologie explorée par l’étude prospective IAHDF (Intelligence Artificielle Hauts-de-France) dont les résultats ont été dévoilés le 17 septembre 2019. Quels seront les impacts de l’IA sur les emplois, les compétences et les différents secteurs d’activités à l'horizon 2030 ? Peut-on considérer l’IA comme un nouvel eldorado de croissance ou est-ce un nouvel artifice qui porte bien son nom ? Une chose est sûre, l’IA, on n’y coupera pas, mais il n’y en aura pas pour tout le monde !
Ce cinquième livre que je viens d’écrire et de publier, « Kayak mon amour. Jusqu’où iriez-vous pour sauver votre boîte ? », a vraiment une saveur très particulière. Il a été rêvé, pensé, programmé, construit et testé avec un comité constitué de vingt lecteurs multidisciplinaires et multiculturels sélectionnés parmi les proches et amis. Il n’a pas échappé non plus aux multiples embûches qui se sont acharnées pour entraver sa réalisation. Finalement, ce livre m’a procuré une multitude de satisfactions. Mais la plus belle d’entre elles est d’avoir, une fois de plus, réussi à faire aboutir un projet dans les temps impartis et tel que j’en avais rêvé. C’est avec un grand plaisir que je savoure cette nouvelle victoire en espérant avoir également le plaisir de la partager avec le plus grand nombre d’amis, de proches, de porteurs de projets, d’entrepreneurs et de lecteurs, sans qui, les victoires de la vie ne seraient que des célébrations solitaires.
Que ce soit face aux attaques terroristes ou aux actes de déséquilibrés, la France n’arrête pas de subir. L’état d’urgence, le rappel de réservistes et le renforcement des forces de l’ordre sont nécessaires mais insuffisants pour éviter de nouveaux drames. Ils permettent d’agir après les attentats, mais pas de les anticiper pour les éviter. Or, c’est là la plus grande question que nous devons nous poser, c’est là où il faudra trouver des solutions pour protéger nos citoyens. Prévenir, anticiper, déjouer les actes de terreur ! Voilà ce qui devrait focaliser toute l’attention de nos gouvernants. Car réagir après le mal c’est agir trop tard ! Mais que faire ? Comment anticiper le passage à l’acte de groupuscules ou d’individus isolés ? Se poser la question, c’est déjà faire un pas vers des réponses.
Alors que la France se démène pour faire face à la crise et honorer ses engagements européens de croissance, voilà qu’elle est atteinte de plein fouet par deux attaques terroristes la même année, une radicalisation de son électorat avec la montée du Front National et une course à la présidentielle où tous les coups sont permis. Le moins que l’on puisse dire est que ces événements inédits ont secoué la France et les Français. On voit de plus en plus de patrons, historiquement taxés de capitalisme, voter à gauche et des salariés, historiquement gauchistes, basculer vers l’extrême droite. La France aurait-elle perdu ses repères ? Ou alors est-ce un nouvel ordre de l’état des choses qui nous propulse vers des lendemains inédits ?
Il y a plusieurs façons de combattre le terrorisme. La riposte armée, la prévention et la sensibilisation sont les solutions les plus évoquées et mises en œuvre, à des degrés différents, en réaction aux attentats de Paris. Ces dispositifs limitent toutefois l’action du pays en écartant la société civile et les nombreux citoyens qui ne demandent qu’à contribuer à éradiquer le mal. Pourtant, il y a un moyen, à la portée de tous, qui pourrait être mis en œuvre rapidement et, peut-être, changer le cours de l’histoire. Il tient en seul mot !
Il me semblait intéressant de partager cette réflexion illustrant ma contribution à l'espace d'expression offert par Martine Aubry "ensemble, réussir".
Pour bien comprendre ce qui peut favoriser ou non l’emploi et l’investissement, il faut se mettre dans la peau des entrepreneurs ! Qui mieux qu’un entrepreneur pourra dire ce qui le freine ou le motive pour embaucher ou pour investir ? Force est de constater que notre gouvernement actuel semble dénué de tout esprit d’entreprise. Pire, la majorité de ses actes ne font que décourager l’entrepreneuriat alors que c’est la seule voie possible pour espérer sortir de notre crise structurelle.
Quand l’agence Kayak Communication a pris son indépendance du groupe Netco dont elle faisait partie depuis 1991 et qu’elle s’est installée à Euratechnologies fin 2009, nous avions décidé de faire le virage du web. J’avais alors proposé à mon équipe de relever deux défis. Le premier défi était pour eux. Ils avaient une année pour devenir des experts en webmarketing. Le second défi était pour moi. Je me suis donné trois ans pour écrire un livre sur la communication digitale. Sachant qu’à l’époque, ma culture du net se limitait à la messagerie, chacun pouvait apprécier le poids d’un tel challenge.
Comme une trêve qui tombe à point nommé, l’euro 2012 semble avoir une saveur toute particulière en ce mois de juin. On connaît déjà l’engouement populaire pour le football au niveau mondial, mais là, c’est une vraie aubaine pour les populations victimes de la crise économique et financière du moment. C'est, pour eux, l'occasion de penser à autre chose et d’oublier la perte de leur emploi, la réduction de leur salaire ou la perte de leur logement.
Leurs conseillers le savent, mais oublient souvent que les hommes politiques qu’ils accompagnent sont des marques à part entière dont l’image dépasse le label de leur propre parti. Comme les marques, les hommes politiques ont une histoire, une personnalité, un look, des valeurs, une identité, une réputation et un comportement qui se doivent d’être cohérents et en phase avec leurs clients et électeurs emblématiques pour susciter l’adhésion. En période électorale, ces caractéristiques sont à la fois mises sous les feux des projecteurs et scrutées par les observateurs car c’est la période où les actions marketing battent en plein régime et où la marque s’exprime en dévoilant la quintessence de sa personnalité.
Crise ou reprise ? Les deux mon capitaine ! Les avis n’ont jamais été aussi partagés, au gré des semaines, au gré de l’actualité et au gré de la situation de chacun. Il y a les pessimistes aguerris qui défendent corps et âme la croissance de la crise, c’est-à-dire qu’au fil des ans, il faut s’attendre à pire. Il y a les optimistes qui voient dans la moindre bonne nouvelle, un signe de reprise et puis il y a ceux qui veulent y croire et qui y mettent toutes leurs ondes positives, histoire de renverser la vapeur afin de retrouver le faste d’antan. Seulement voilà, le match ne se joue pas clairement entre deux équipes où il suffit de choisir son camp, mais entre plusieurs équipes sur un terrain où chacun essaie de tirer son épingle du jeu.